• Il est né un 17 Mai à Busan, d’où son accent parfois bien présent, parlant en satoori surtout lorsqu’il pense à voix haute ou s’énerve contre quelque chose/quelqu’un
• Son père est instituteur et sa mère coiffeuse, il a donc grandit dans un univers très modeste voir même un peu « paysan » car il était souvent dans la ferme familiale à y jouer et aider
• On détecta son asthme aux alentours de ses cinq ans, mais les médecins ne furent pas plus inquiétés que cela, c’est donc pourquoi sa mucoviscidose c’est développée rapidement et sans obstacles
• Comme c’est une maladie extrêmement rare en Asie, il fit quelques voyages enfant aux Etats-Unis pour des examens plus poussés et avoir des renseignements sur cette maladie qui allait signer sa date de mort avant ses 30 ans, pour le plus profond chagrin de ses parents
• Depuis ses 12 ans il prend donc beaucoup de médicaments et doit faire attention à ses faits et gestes, beaucoup de chose lui ayant été interdites ce qui a eu le don de non seulement le frustrer mais de se faire rejeté par les autres enfants, comme il ne pouvait pas faire de grands efforts physiques
• Compensant donc son manque d’activité physique en se plongeant dans ses études, étant toujours très attentif et sérieux, ayant néanmoins quelques petits lacunes, surtout au lycée faute de ne pas participer à certains cours lorsque sa condition était trop mauvaise
• C’est ainsi qu’il rencontra Ezeckiel il y a 2 ans, dans la bibliothèque de son lycée. Celui-ci proposa de l’aider, et finalement, il devint son professeur particulier, à qui notre garçon s’attacha bien plus qu’il n’aurait du
• Finalement, son état de santé s’empirant, ses parents l’inscrire dans cette école spécialisée, après en avoir entendu parler par bouche à oreille. Alors qu’au début il n’était pas vraiment pour, faute de devoir se faire à une nouvelle vie, de nouveaux professeurs, etc, il finit par s’adapter tant bien que mal
• A sa plus grande surprise, il y retrouva ce fameux professeur, Ezeckiel, bien que celui-ci avait changé en un point non négligeable : il était devenu aveugle. Mais faute de ne lui avoir jamais parlé de sa maladie mortelle, le garçon ne lui a jamais demandé d’explication sur cette récente cécité
• A présent, s’il lutte pour avoir une vie des plus normales possibles, une chose est sûre : il est complètement sous le charme de son aîné, mais n’ose pas le lui avouer, faute de n’avoir jamais été en couple et ne de s’être jamais confessé